Dans ce livre Michèle Marineau et Manon Gauthier crée un monde noir, blanc et gris dans lequel vit la petit Pétronille avec sa sœur parfaite Babette, son père et sa mère. Un jour, pendant que sa mère aide Pétronille à se laver, Pétronille déclare que la serviette est une barbouillette et refuse de prononcer le mot débarbouillette. En utilisant la serviette comme « barbouillette » au lieu de débarbouillette, du barbouillage coloré apparait sur les joues de Pétronille. Cette couleur se repends au restant de sa famille et aussi à travers de leur maison. La famille de Pétronille vont voir un médecin qui les informe qu’ils sont atteints d’un « colorite aigue ». Les couleurs et le barbouillage se rependent à travers du monde qui était paravent gris et sombre puisque, pour citer le livre; la colorite « C’est plus contagieux que les poux, la varicelle, la peste ou la cholera… mais beaucoup plus drôle! »
Le jeu de mots de barbouillette et débarbouillette sont comique et essential a l’histoire. Celui-ci contribue à l’absurdité de l’histoire que j’ai beaucoup appréciée. Les images sont excellant. Il y a un beau contraste entre le monde grisâtre et le monde coloré. C’est aussi des illustrations très détaillées. Il y a aussi tellement de détails et de couleurs à observer dans chaque image. Les couleurs et les détails contribuent à un style chaotique et joyeux
Comment
Barbouillette!